J’embrasse la main
de mes maîtres les écrivains.
Je dédie mes poèmes à Victor Hugo,
de ses œuvres on apprend tout,
l’art d’écrire les mots,
l’art de décrire les maux.
A Emile Zola, je dédie cette œuvre ;
l’auteur de L’œuvre
et de La joie de vivre.
A Stendhal, l’intendant militaire,
son roman Le rouge et le noir,
une étoile lumière,
qui rayonne dans l’histoire.
A Flaubert le géant de la littérature,
au petit Guy, il a fait découvrir
l’originalité, comment l’acquérir
et les secrets de la littérature.
A Henri Troyat le grand,
par son chef-d’œuvre Maupassant
sans oublier Les semailles et les moissons.
A Bernard Clavel le père.
Il m’a fait vivre Les petits bonheurs.
Avec son roman Les fruits de l’hiver,
il ne peut être que fier.
Je dédie mes vers à Max Gallo
qui m’a mis dans les bras d’Hugo.
A Amine Maalouf, l’espoir du levant,
auteur des Echelles du levant.
Je dédie mes poèmes à Béatrice Saubin ;
son Epreuve n’est pas une fin.
Un récit si touchant et beau
où « la vie est un cadeau ».
A Patrick Segal, je lui baisse la tête
pour L’homme qui marchait dans sa tête.
A Amélie Nothomb ;
Un bonheur du ciel tombe.
Avec Stupeur et tremblements
on passe de bons moments.
Mes maîtres que vous soyez vivants ou morts
Vous me soutenez très fort.
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